COSMOGONIE PHOSPHÉNIQUE

COSMOGONIE PHOSPHÉNIQUE

Toutes ces recherches ne pouvaient que déboucher sur une cosmogonie.

Nous avons vu, dans « l’exploration du cerveau par les phosphènes double » que le phosphène est une substance extérieure au cerveau : sa troisième phase permet de voir les objets physiques en pleine obscurité. Nous avons eu une centaine de photographies de phosphènes. Ceux-ci sont très transmissibles par télépathie.

Il n’y a pas de substance que l’on n’ait découverte dans le cosmos et que l’on n’ait pas ensuite retrouvée dans l’organisme humain et réciproquement. Exemple : l’hélium.

Si donc le phosphène est une substance extérieure au cerveau, cette substance doit jouer un rôle dans l’équilibre et l’évolution des corps célestes.

On se demande en quoi la matière se transforme lorsqu’elle est complètement écrasée par l’hyperpression au sein des trous noirs. Il est très probable qu’elle soit alors métamorphosée en l’échelon le plus subtil de « substance phosphénique ».

D’autres aspects cosmologiques résultent de ces recherches.

Ainsi, dans « Les Homologies, analogies du microcosme et du macrocosme« , une théorie étendue de la notion de symétrie est exposée. Elle amène à constater l’étrange symétrie entre la plante et l’homme. De plus, par l’inversion géométrique, les formes astronomiques se transforment en morphologie végétale.

Le rapport entre les exercices initiatiques traditionnels et ces lois cosmologiques est clairement démontré.

L’ensemble de ces recherches jette définitivement un pont entre les sciences et les religions. Elles marquent ainsi un tournant dans l’évolution de la civilisation humaine.

Nous le répétons : l’expérience de base est suffisamment décrite pour que chacun puisse se convaincre, en la faisant pendant quelques semaines, une demi-heure par jour, que cette affirmation n’est pas une galéjade, mais qu’au contraire, dans la mesure où cette œuvre se répand, une transformation profonde de l’humanité est en cours.

Note : Pour fixer le Soleil levant sans danger, boire beaucoup d’eau avant, choisir une pensée qui peut être une prière que l’on s’invente. Ôter les lunettes ou les lentilles, puis fixer le Soleil levant par période de deux secondes seulement, tout en répétant sa pensée. Se reposer en observant lepost-phosphène pendant 2 ou 3 minutes, tout en continuant de la répéter. Cet exercice est semblable au fonctionnement d’une usine hydro-électrique qui reçoit une énergie proportionnelle à la hauteur de la chute d’eau. Prier, c’est admettre l’existence de forces invisibles au-dessus de soi, donc être en position favorable pour recevoir.

Docteur Francis LEFEBURE

• Ancien Externe des Hôpitaux de Paris.
• Ancien médecin du Service de Santé scolaire.
Médaille d’Or et Prix du Concours Lépine, 1963.
Médaille d’Or du Salon International des Inventeurs de Bruxelles, pour l’action sur le cerveau de l’appareil à audition alternative, 1964.
Médaille d’Argent du Salon Mondial des Inventeurs de Bruxelles, en 1975 pour la méthode du “Mixage phosphénique en pédagogie”.